Pour la première fois, c’est BMCE Bank of Africa qui prend la parole (voir notre article à ce sujet). Née de la synergie d’un groupe marocain leader aux ambitions internationales et de son réseau Bank of Africa étendu à une vingtaine de pays, cette nouvelle marque porte une vision ambitieuse et durable. A travers ses implantations européennes, ses antennes aux Emirats Arabes Unis, en Chine et au Canada et son ambition à couvrir prochainement les 54 états du continent africain, BMCE Bank of Africa cherche à ouvrir de nouvelles opportunités aux investisseurs du monde entier.
La saga BMCE Bank : L’histoire d’un optimisme visionnaire
A l’aube des années 60, le Maroc, ayant reconquis son indépendance et son intégrité territoriale, avait besoin d’un instrument financier puissant au service de son développement économique international. Ce fut la mission, attribuée par Dahir, à la Banque Marocaine du Commerce Extérieur, premier établissement bancaire réellement marocain.
En 1995, elle est la première banque nationale à être privatisée, prenant le nom de BMCE Bank, et s’engage très vite sur une signature de marque visionnaire : « Notre Monde est Capital », formulation originale d’un discours précurseur englobant une promesse à la fois économique et environnementale. La banque s’investit également sur le terrain de la responsabilité sociale et environnementale à travers la création de la Fondation BMCE Bank dont le programme Medersat.com des « Mille et une écoles » s’est imposé en deux décennies comme un modèle d’action communautaire.
En 20 ans, la banque a démultiplié son implantation et fait évoluer son organisation et son offre, portant une stratégie de banque universelle articulée autour de divers métiers et de filiales spécialisées sous l’ombrelle de la marque à la perle.
En 2002, accompagnant les espérances d’un siècle émergent, la communication de BMCE Bank n’hésite pas à s’engager sur le terrain du rêve en invitant un « Petit Prince » marocain à questionner le monde : écologie, technologie, éducation, de quoi l’avenir serait-il fait et en quoi une grande banque pourrait-elle le rendre possible ? A l’occasion de son cinquantenaire, en 2009, la banque invite son public à « faire plus de place à l’avenir » en développant la confiance en l’homme et en ses capacités d’imagination et d’ambition.
Cet optimisme visionnaire qui constitue son crédo se déploie désormais dans une perspective continentale avec BMCE Bank of Africa. Il conduit aujourd’hui le groupe à se projeter encore plus loin avec toutes ses forces vives et en interaction avec l’ensemble de ses parties prenantes… Ensemble, il est possible de rêver d’un nouveau monde, affirme BMCE Bank of Africa : un monde d’infinies possibilités…
« Rêvons d’un nouveau monde » : Le synopsis
Un cavalier mystérieux galope de montagnes en déserts. Il atteint une kasbah majestueuse perdue en plein oasis, abritant des enfants qui s’y nourrissent du ruissellement de la connaissance. Au sommet de cette kasbah, le ciel si proche lui fait découvrir une cité grandiose et inversée. Tendant la main, il touche son double et se voit projeté dans un nouveau monde, urbain, lumineux, international…
La ville immense devient un vaisseau sur la mer à la proue duquel il franchit l’océan, révélant des univers technologiques, naturels, multiples, métissés où les humains de toutes origines sont heureux de commercer, d’échanger.
Arrivé au sommet d’une colline, l’homme est rejoint par une femme. Elle glisse sa main dans la sienne.
Ensemble, ils regardent le soleil se coucher sur la ville futuriste, illuminée par les rayons du soleil, promesse d’opportunités infinies.
Juan Solanas : Un grand réalisateur
Réalisateur, scénariste et producteur argentin, Juan Solanas est né en 1966 à Buenos Aires. Exilé en France, il y fait des études d’histoire de l’art avant de s’orienter vers le cinéma et de s’imposer comme directeur de la photographie.
En 2001, il écrit et réalise son premier court métrage, L’Homme sans tête, et reçoit des mains d’Emir Kusturica le Prix du jury du Festival de Cannes, décerné à l’unanimité, ainsi qu’une quarantaine de prix internationaux.
En 2005, son film Nordeste concourt pour la Caméra d’or et reçoit le prix du meilleur film au Stockholm Film Festival. En 2012, son film Upside Down, racontant la rencontre de deux mondes aux gravités opposées, marque pour l’originalité et la puissance de ses effets spéciaux.
Une bande son signée Ludovic Bource
Compositeur et arrangeur français né en 1970, Ludovic Bource débute en composant pour des publicités réalisées par son ami Michel Hazanavicius et c’est avec lui qu’il s’impose au cinéma en créant avec Kamel EchChekh les musiques des films OSS 117 : Le Caire, nid d’espions et Rio ne répond plus. Enfin, il est le compositeur primé du film The Artist qui lui vaut le César et l’Oscar de la meilleure musique en 2012.